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Haroun est le fils d'un conteur. Un jour il se fache avec son père : "A quoi servent des histoires qui ne sont mêmes pas vraies
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Dans la tribu de Thôz, le Vieux a décidé de tuer l'enfant noir. Simplement parcequ'il gêne, parce qu'il est différent des autres.Alors l'enfan noir s'enfuit. Il s'enfuit vers NIOURK, l'ancienne ville de New York où ne subsistent que des ruines
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Ce livre n'est pas un conte de fées, mais une histoire de vraies sorcières; vous n'y trouverez ni stupides chapeaux noirs, ni manches à balai : la vérité est plus épouvantable. Les vraies sorcières sont habillées de façon ordinaire, ...
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Silvère partage ses rêveries solitaires avec un ami imaginaire, le chien rouge. Ils se racontent tout, partagent de petits secrets et se consolent de leurs petits malheurs. Ces dialogues singuliers s'arrêtent lorsque Silvère croit son ami Antoin[...]
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Tous les poètes de cet ouvrage sont de grands voyageurs. Certains vont parfois très loin, au Japon ou en Chine, en Afrique ou en Amérique du Sud. D'autres se promènent en imagination, inventent d'étonnants pays, plus séduisants que les vrais...
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Vous rêvez de sables mouvants, d'oasis empoisonnées, de labyrinthes sans issue... Vous préférez les scorpions aux papil- lons... Bravo ! Vous êtes de la trempe des explomigrateurs. Votre destination la Timbalie.
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J'ai senti qu'on me reniflait dans le dos. Noiraude veillait sur moi.. Son geste m'est allé droit au coeur. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que, moi aussi, je veillais sur elle. Elle me reniflait tellement que j'ai cru qu'elle allait me lécher.
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Jonathan est décidément un goéland singulier. En plus de voler toujours plus haut, il veut apprendre, progresser, être libre. Chassé du clan, il poursuivra solitaire, son entrainement et sa quête, jusqu'au jour où il rencontrera ses amis...
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Côme monta jusqu'à la fourche d'une grosse branche où il s'installa commodément. Notre père se pencha : "Quand tu seras fatigué de rester là, tu changeras d'idée !" "Je ne changerai jamais d'idée, je ne descendrai pas." Et il tint parole.
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Elle parlait tout contre mon oreille. C'était un souffle... "Cette nuit j'y suis revenue; mais j'ai eu peur, il y avait quelqu'un..." "L'âne..." "Non, pas l'âne. Quelqu'un, peut-être un homme... Je l'ai entendu qui marchait.
